de Biblica1« Où est allé ton bien-aimé, ô toi la plus belle des femmes? De quel côté s’est-il tourné, ╵ton bien-aimé? Nous t’aiderons à le chercher. »
Le chœur Le lien de l’amour
2« Mon bien-aimé ╵est descendu dans son jardin, vers ses parterres d’aromates, afin de paître ╵dans les jardins et d’y cueillir des lis.3Moi, je suis à mon bien-aimé ╵et mon bien-aimé est à moi, il paît parmi les lis[1]. » (Ct 2:16; Ct 7:11)
La plus belle de toutes
4« Que tu es belle, ╵ô mon amie, ╵comme Tirtsa[2]. Tu es superbe ╵comme Jérusalem, et redoutable comme des soldats rangés sous leur bannière.[3] (Jos 12:24; 1R 14:17)5Détourne de moi tes yeux, ╵car ils me troublent, ta chevelure ╵est comme un troupeau de chèvres dévalant le mont Galaad.6Tes dents ressemblent ╵à un troupeau de brebis qui reviendrait du lavoir. Chacune d’elles ╵a sa jumelle, aucune n’est solitaire.7Et tes tempes ressemblent ╵à des moitiés de grenades dessous ton voile.8Les reines sont soixante et quatre-vingts ╵les épouses de second rang, les jeunes filles sont sans nombre.9Mais elle, ma colombe, ╵ma parfaite est unique. Elle est unique pour sa mère, la préférée ╵de celle qui l’a enfantée. Les jeunes filles, ╵en la voyant, ╵la disent bienheureuse. Toutes les reines, ╵et les épouses ╵de second rang ╵font son éloge. »10« Qui donc est celle ╵qui apparaît ╵comme l’aurore et qui est belle ╵comme la lune, ╵brillante comme le soleil et redoutable comme des soldats rangés sous leur bannière[4]? »
Le chœur Poussée par le désir
11« Je venais de descendre ╵au jardin des noyers pour regarder les pousses ╵dans le vallon et pour voir si la vigne ╵avait déjà fleuri, et si les grenadiers ╵étaient déjà en fleurs.12Je ne sais pas comment ╵je me suis retrouvée, ╵poussée par mon désir, au beau milieu des chars ╵des hommes de mon prince[5]. » (Ct 7:2)
Cantiques 6
Lutherbibel 2017
de Deutsche Bibelgesellschaft1»Wo ist denn dein Freund hingegangen, o du Schönste unter den Frauen? Wo hat sich dein Freund hingewandt? So wollen wir ihn mit dir suchen.«2Mein Freund ist hinabgegangen in seinen Garten, zu den Balsambeeten, dass er weide in den Gärten und Lotosblüten pflücke.3Mein Freund ist mein und ich bin sein, der unter Lotosblüten weidet.4Du bist schön, meine Freundin, wie Tirza, lieblich wie Jerusalem, überwältigend wie die Bilder am Himmel.5Wende deine Augen von mir; denn sie verwirren mich. Deine Haare sind wie eine Herde Ziegen, die herabsteigen vom Gebirge Gilead.6Deine Zähne sind wie eine Herde Schafe, die aus der Schwemme kommen; alle haben sie Zwillinge, und es fehlt keiner unter ihnen.7Deine Schläfen sind hinter deinem Schleier wie eine Scheibe vom Granatapfel.8Sechzig Königinnen sind es und achtzig Nebenfrauen und Jungfrauen ohne Zahl.9Aber eine ist meine Taube, meine Makellose; die Einzige ist sie für ihre Mutter, das Liebste für die, die sie geboren hat. Als die Töchter sie sahen, priesen sie sie glücklich; die Königinnen und Nebenfrauen rühmten sie.10Wer ist sie, die hervorbricht wie die Morgenröte, schön wie der Mond, klar wie die Sonne, überwältigend wie die Bilder am Himmel?11Ich bin hinabgegangen in den Nussgarten, zu schauen die Knospen im Tal, zu schauen, ob der Weinstock sprosst, ob die Granatbäume blühen.12Mein Verlangen zog mich, ich wusste nicht wie, zu den Wagen Ammi-Nadibs.