1Passons au problème[1] des viandes provenant d’animaux sacrifiés aux idoles[2]. Nous possédons tous la connaissance voulue, nous le savons. Mais la connaissance rend orgueilleux. L’amour, lui, fait grandir dans la foi. (Ac 15:29; 1Co 7:1; 1Co 10:25)2Celui qui s’imagine avoir de la connaissance ne connaît pas encore comme on doit connaître.3Mais celui qui aime Dieu, celui-là est connu de Dieu.4Qu’en est-il donc de la question de la consommation des viandes sacrifiées aux idoles? Nous savons qu’il n’existe pas d’idoles dans le monde et qu’il n’y a qu’un seul Dieu.5Certes, bien des êtres célestes ou terrestres sont considérés comme des divinités, de sorte qu’il y a de nombreux dieux ou seigneurs.6Mais pour ce qui nous concerne, il n’y a qu’un seul Dieu: le Père, de qui toute chose vient, et pour qui nous vivons, et il n’y a qu’un seul Seigneur: Jésus-Christ, par qui tout existe et par qui nous sommes.7Mais tous les chrétiens n’ont pas encore bien assimilé ces vérités. Quelques-uns, encore marqués par leur habitude de rendre un culte aux idoles, continuent à manger ces viandes avec la pensée qu’elles ont été offertes à des idoles. Alors leur conscience, qui est faible, se charge de culpabilité.8Mais ce n’est pas un aliment qui peut nous rapprocher de Dieu; en manger ou pas ne nous rendra ni meilleurs, ni pires.9Toutefois, faites bien attention à ce que votre liberté ne cause pas la chute de ceux qui sont mal affermis dans la foi.10Supposons, en effet, que l’un d’eux te voie, toi, qui as la connaissance, assis à table dans un temple d’idoles[3]. Sa conscience ne va-t-elle pas l’encourager, lui qui est mal affermi, à manger des viandes sacrifiées aux idoles?11Ainsi, à cause de ta connaissance, ce chrétien mal affermi va courir à sa perte. Et pourtant, c’est un frère ou une sœur pour qui Christ a donné sa vie!12Si vous péchez de la sorte envers des frères ou des sœurs, en blessant leur conscience qui est faible, vous péchez contre Christ lui-même.13C’est pourquoi, si ce que je mange devait causer la chute de mon frère ou de ma sœur, j’y renoncerais à tout jamais, afin de ne pas être pour lui une occasion de chute.
1Was aber das Götzenopfer angeht, so wissen wir, dass wir alle die Erkenntnis haben. Die Erkenntnis bläht auf; aber die Liebe baut auf. (Ac 15:29)2Wenn jemand meint, er habe etwas erkannt, der hat noch nicht erkannt, wie man erkennen soll. (Ga 6:3)3Wenn aber jemand Gott liebt, der ist von ihm erkannt. (1Co 13:12; Ga 4:9)4Was nun das Essen von Götzenopferfleisch angeht, so wissen wir, dass es keinen Götzen gibt in der Welt und keinen Gott als den einen. (Dt 6:4)5Und obwohl es solche gibt, die Götter genannt werden, es sei im Himmel oder auf Erden, wie es ja viele Götter und viele Herren gibt, (1Co 10:19)6so haben wir doch nur einen Gott, den Vater, von dem alle Dinge sind und wir zu ihm, und einen Herrn, Jesus Christus, durch den alle Dinge sind und wir durch ihn. (Ex 20:3; Ml 2:10; Jn 1:3; Rm 11:36; 1Co 12:5; Ep 4:5; Col 1:16)7Aber nicht alle haben die Erkenntnis. Einige essen’s als Götzenopfer, weil sie immer noch an die Götzen gewöhnt sind; und so wird ihr Gewissen, weil es schwach ist, befleckt. (1Co 10:28)8Aber die Speise macht’s nicht, wie wir vor Gott stehen. Essen wir nicht, so fehlt uns nichts, essen wir, so gewinnen wir nichts. (Rm 14:17)9Seht aber zu, dass diese eure Freiheit für die Schwachen nicht zum Anstoß wird! (Ga 5:13)10Denn wenn jemand dich, der du die Erkenntnis hast, im Götzentempel zu Tisch sitzen sieht, wird dann nicht sein Gewissen, da er doch schwach ist, verleitet, das Götzenopfer zu essen?11Und so geht durch deine Erkenntnis der Schwache zugrunde, der Bruder, für den doch Christus gestorben ist. (Rm 14:15)12Wenn ihr aber so sündigt an den Brüdern und Schwestern und verletzt ihr schwaches Gewissen, so sündigt ihr an Christus.13Darum, wenn Speise meinen Bruder zu Fall bringt, will ich nimmermehr Fleisch essen, auf dass ich meinen Bruder nicht zu Fall bringe. (Rm 14:21)