1 Corinthiens 7

La Bible du Semeur

de Biblica
1 J’en viens à présent aux problèmes que vous soulevez dans votre lettre[1]. Il est bon qu’un homme se passe de femme. (1Co 8:1; 1Co 12:1; 1Co 16:1; 1Co 16:17)2 Cependant, pour éviter toute immoralité, il est préférable que chaque homme ait sa femme et que chaque femme ait son mari.3 Que le mari accorde à sa femme ce qu’il lui doit et que la femme agisse de même envers son mari.4 Car le corps de la femme ne lui appartient plus, il est à son mari. De même, le corps du mari ne lui appartient plus, il est à sa femme.5 Ne vous refusez donc pas l’un à l’autre. Vous pouvez, certes, en plein accord l’un avec l’autre, renoncer pour un temps à vos relations conjugales afin de vous consacrer davantage à la prière, mais après cela, reprenez vos rapports comme auparavant. Il ne faut pas donner à Satan l’occasion de vous tenter par votre incapacité à vous maîtriser.6 Notez bien qu’il s’agit là d’une concession et nullement d’un ordre.7 Je voudrais bien que tout le monde soit comme moi, mais chacun reçoit de Dieu un don particulier de la grâce, l’un le mariage, l’autre le célibat.8 J’aimerais cependant dire aux veufs[2] et aux veuves que c’est une bonne chose de continuer à vivre seul, comme moi.9 Toutefois, s’ils ne peuvent pas se maîtriser en ce domaine, qu’ils se marient, car mieux vaut se marier que de se consumer en désirs insatisfaits.10 Quant aux couples chrétiens, voici ce que j’ordonne, ou plutôt ce que le Seigneur lui-même leur commande: Que la femme ne se sépare pas de son mari[3]. (Mt 19:3)11 Au cas où elle en serait séparée, qu’elle reste sans se remarier ou qu’elle se réconcilie avec son mari. Le mari, de son côté, ne doit pas quitter sa femme.12 Pour les autres couples, en l’absence d’indication de la part du Seigneur, voici ce que je dis: si un frère chrétien est marié avec une femme non-croyante et qu’elle consente à rester avec lui, qu’il ne la quitte pas.13 De même, si une femme a un mari non-croyant et qu’il consente à rester avec elle, qu’elle ne le quitte pas.14 Car du fait de son union avec sa femme, le mari non-croyant est bien un mari légitime aux yeux de Dieu et de même, du fait de son union avec son mari chrétien, la femme non-croyante est bien une épouse légitime aux yeux de Dieu. Autrement, leurs enfants seraient des enfants naturels, alors qu’en réalité ils sont légitimes[4].15 Mais si le conjoint non-croyant est déterminé à demander le divorce, eh bien, qu’il le fasse; dans ce cas, le frère ou la sœur n’est pas lié. Dieu vous a appelés à vivre dans la paix.16 Car toi, femme, tu amèneras peut-être ton mari au salut, mais en fait qu’en sais-tu? De même, toi, mari, tu amèneras peut-être ta femme au salut, mais en fait, qu’en sais-tu?17 En dehors de ce cas, tenez-vous-en à la règle générale que j’enseigne partout dans toutes les Eglises: que chacun continue à vivre dans la condition que le Seigneur lui a assignée comme sa part, celle dans laquelle il se trouvait au moment où Dieu l’a appelé.18 Quelqu’un était-il circoncis lorsqu’il a été appelé? Qu’il ne cherche pas à le dissimuler. Ou quelqu’un était-il incirconcis lorsque Dieu l’a appelé? Qu’il ne se fasse pas circoncire.19 Que l’on soit circoncis ou non n’a aucune importance. Ce qui importe, c’est l’obéissance aux commandements de Dieu.20 Que chacun demeure dans la situation qui était la sienne lorsque Dieu l’a appelé.21 Etais-tu esclave[5] lorsque Dieu t’a appelé? Ne te fais pas de souci à ce sujet. Mais si tu peux devenir libre, alors profites-en[6]. (1Co 1:26)22 Car un esclave qui a été appelé à servir le Seigneur est un affranchi du Seigneur. Et de même, l’homme libre que Dieu a appelé est un esclave de Christ.23 C’est à un grand prix que vous avez été rachetés! Alors, ne devenez pas esclaves des hommes.24 Donc, frères et sœurs, que chacun reste devant Dieu dans la situation où il était lorsque Dieu l’a appelé à venir à lui.25 Pour ce qui est des jeunes filles, je n’ai pas d’ordre du Seigneur, mais je donne mon avis comme celui d’un homme qui, par la grâce du Seigneur, est digne de confiance:26 à cause des détresses de l’heure présente, j’estime qu’il est bon pour chacun de demeurer comme il est.27 As-tu une femme? Ne cherche pas à rompre. N’as-tu aucun engagement? Ne cherche pas de femme.28 Mais si tu te maries, tu ne commets pas de péché. Ce n’est pas non plus un péché pour une jeune fille de se marier. Mais les gens mariés connaîtront bien des souffrances et je voudrais vous les épargner.29 Je vous assure, frères et sœurs: le temps est limité; que désormais ceux qui sont mariés vivent comme s’ils n’avaient pas de femme,30 ceux qui pleurent comme s’ils ne pleuraient pas, ceux qui se réjouissent comme s’ils ne se réjouissaient pas, ceux qui achètent comme s’ils ne possédaient rien.31 Bref, que tous ceux qui jouissent des biens de ce monde vivent comme s’ils n’en jouissaient pas. Car le présent ordre des choses va vers sa fin.32 C’est pourquoi je voudrais vous savoir libres de toute préoccupation. Celui qui n’est pas marié se préoccupe des intérêts du Seigneur. Son seul souci est de lui plaire.33 Celui qui est marié s’occupe des affaires de ce monde, pour plaire à sa femme;34 et le voilà tiraillé de part et d’autre. De même la veuve et la jeune fille n’ont pas d’autre souci que les intérêts du Seigneur, pas d’autre désir que de se dévouer à lui corps et esprit. La femme mariée, elle, se préoccupe des affaires de ce monde, pour plaire à son mari.35 Je dis cela dans votre propre intérêt et non pour vous tendre un piège, mais pour que vous meniez une vie bien ordonnée, et que vous soyez attachés au Seigneur sans partage.36 Mais si quelqu’un craint de mal se comporter envers la jeune fille qui lui est destinée et pense que les choses doivent suivre leur cours normal, qu’il fasse ce qui lui semble bon; il ne commet pas de faute. Que tous deux se marient!37 Mais si cet homme a pris en lui-même une ferme résolution, sans y être contraint, mais dans la pleine possession de sa volonté, et si la décision qu’il a ainsi prise en lui-même est de ne pas s’unir à la jeune fille, il fera bien.38 En somme, celui qui épouse la jeune fille fait bien, et celui qui ne l’épouse pas fera encore mieux[7].39 Un dernier mot: une femme demeure liée à son mari aussi longtemps qu’il vit; mais si le mari vient à mourir, elle est libre de se remarier avec qui elle veut, à condition, bien entendu, que ce soit avec un chrétien.40 Toutefois, à mon avis, elle sera plus heureuse si elle reste comme elle est; et je pense, moi aussi, avoir l’Esprit de Dieu.

1 Corinthiens 7

Lutherbibel 2017

de Deutsche Bibelgesellschaft
1 Nun zu dem, wovon ihr geschrieben habt: Es ist gut für den Mann, keine Frau zu berühren.2 Aber um Unzucht zu vermeiden, soll jeder seine eigene Frau haben und jede Frau ihren eigenen Mann.3 Der Mann gebe der Frau, was er ihr schuldig ist, desgleichen die Frau dem Mann.4 Die Frau verfügt nicht über ihren Leib, sondern der Mann. Ebenso verfügt der Mann nicht über seinen Leib, sondern die Frau.5 Entziehe sich nicht eins dem andern, es sei denn eine Zeit lang, wenn beide es wollen, dass ihr zum Beten Ruhe habt; und dann kommt wieder zusammen, damit euch der Satan nicht versuche, weil ihr euch nicht enthalten könnt.6 Das sage ich aber als Erlaubnis und nicht als Gebot.7 Ich wollte zwar lieber, alle Menschen wären, wie ich bin, aber jeder hat seine eigene Gabe von Gott, der eine so, der andere so. (Mt 19:12)8 Den Ledigen und Witwen sage ich: Es ist gut für sie, wenn sie bleiben wie ich.9 Wenn sie sich aber nicht enthalten können, sollen sie heiraten; denn es ist besser, zu heiraten, als in Begierde zu brennen. (1Tm 5:14)10 Den Verheirateten aber gebiete ich – nein, nicht ich, sondern der Herr –, dass die Frau sich nicht von ihrem Manne scheiden lassen soll – (Mt 5:32)11 hat sie sich aber scheiden lassen, soll sie ohne Ehe bleiben oder sich mit ihrem Mann versöhnen – und dass der Mann seine Frau nicht fortschicken soll.12 Den andern aber sage ich, nicht der Herr: Wenn ein Bruder eine ungläubige Frau hat und es gefällt ihr, bei ihm zu wohnen, so soll er sie nicht fortschicken.13 Und wenn eine Frau einen ungläubigen Mann hat und es gefällt ihm, bei ihr zu wohnen, so soll sie den Mann nicht fortschicken.14 Denn der ungläubige Mann ist geheiligt durch die Frau, und die ungläubige Frau ist geheiligt durch den gläubigen Mann. Sonst wären eure Kinder unrein; nun aber sind sie heilig. (Rm 11:16)15 Wenn aber der Ungläubige sich scheiden will, so lass ihn sich scheiden. Der Bruder oder die Schwester ist nicht gebunden in solchen Fällen. Zum Frieden hat euch Gott berufen. (Rm 14:19)16 Denn was weißt du, Frau, ob du den Mann retten wirst? Oder du, Mann, was weißt du, ob du die Frau retten wirst? (1P 3:1)17 Doch soll jeder so leben, wie der Herr es ihm zugemessen, wie Gott einen jeden berufen hat. Und so ordne ich es an in allen Gemeinden. (1Co 4:17)18 Ist jemand als Beschnittener berufen, der bleibe beschnitten. Ist jemand als Unbeschnittener berufen, der lasse sich nicht beschneiden.19 Die Beschneidung ist nichts, und die Unbeschnittenheit ist nichts, sondern: Gottes Gebote halten. (Ga 5:6; Ga 6:15)20 Ein jeder bleibe in der Berufung, in der er berufen wurde.21 Bist du als Knecht berufen, so sorge dich nicht; doch kannst du frei werden, so nutze es umso lieber.22 Denn wer im Herrn als Knecht berufen ist, der ist ein Freigelassener des Herrn; desgleichen wer als Freier berufen ist, der ist ein Knecht Christi. (Ep 6:6; Phm 1:16)23 Ihr seid teuer erkauft; werdet nicht der Menschen Knechte. (1Co 6:20)24 Brüder und Schwestern, bleibt alle vor Gott, worin ihr berufen seid.25 Über die Jungfrauen habe ich kein Gebot des Herrn; ich sage aber meine Meinung als einer, der durch die Barmherzigkeit des Herrn verlässlich ist.26 So meine ich nun, solches sei gut um der kommenden Not willen: Es ist gut für den Menschen, in dem Stand zu bleiben, in dem er ist. (1Co 10:11)27 Bist du an eine Frau gebunden, so suche nicht, von ihr loszukommen; bist du nicht gebunden, so suche keine Frau.28 Wenn du aber doch heiratest, sündigst du nicht, und wenn eine Jungfrau heiratet, sündigt sie nicht; doch werden solche in äußere Bedrängnis kommen. Ich aber möchte euch gerne schonen.29 Das sage ich aber, liebe Brüder: Die Zeit ist kurz. Auch sollen die, die Frauen haben, sein, als hätten sie keine; (Lc 14:26; Rm 13:11)30 und die weinen, als weinten sie nicht; und die sich freuen, als freuten sie sich nicht; und die kaufen, als behielten sie es nicht;31 und die diese Welt gebrauchen, als brauchten sie sie nicht. Denn das Wesen dieser Welt vergeht. (1Jn 2:15)32 Ich möchte aber, dass ihr ohne Sorge seid. Wer ledig ist, der sorgt sich um die Sache des Herrn, wie er dem Herrn gefalle;33 wer aber verheiratet ist, der sorgt sich um die Dinge der Welt, wie er der Frau gefalle, (Lc 14:20)34 und so ist er geteilten Herzens. Und die ledige Frau und die Jungfrau sorgen sich um die Sache des Herrn, dass sie heilig seien am Leib und auch am Geist; aber die verheiratete Frau sorgt sich um die Dinge der Welt, wie sie dem Mann gefalle.35 Das aber sage ich zu eurem eigenen Nutzen; nicht um euch in einem Netz zu fangen, sondern damit es recht zugehe und ihr stets und ungehindert dem Herrn dienen könnt.36 Wenn aber jemand meint, er handle unrecht an seiner Jungfrau[1], – wenn die Zeit längst reif ist und es geschehen soll, so tue er, was er will; er sündigt nicht, sie sollen heiraten.37 Wer aber in seinem Herzen fest bleibt und nicht unter Zwang steht, sondern seinen freien Willen hat und in seinem Herzen beschließt, seine Jungfrau unberührt zu lassen, der tut gut daran.38 Also, wer seine Jungfrau heiratet, der handelt gut; wer sie aber nicht heiratet, der handelt besser.39 Eine Frau ist gebunden, solange ihr Mann lebt; wenn aber der Mann entschlafen ist, so ist sie frei, zu heiraten, wen sie will; nur dass es in dem Herrn geschehe! (Rm 7:2)40 Seliger ist sie aber, nach meiner Meinung, wenn sie unverheiratet bleibt. Ich meine aber, dass auch ich den Geist Gottes habe.