1 Corinthiens 13

Segond 21

de Société Biblique de Genève
1 Si je parle les langues des hommes, et même celles des anges, mais que je n'ai pas l'amour, je suis un cuivre qui résonne ou une cymbale qui retentit.2 Si j'ai le don de prophétie, la compréhension de tous les mystères et toute la connaissance, si j'ai même toute la foi jusqu'à transporter des montagnes, mais que je n'ai pas l'amour, je ne suis rien.3 Et si je distribue tous mes biens aux pauvres, si même je livre mon corps aux flammes, mais que je n'ai pas l'amour, cela ne me sert à rien.4 L'amour est patient, il est plein de bonté; l'amour n'est pas envieux; l'amour ne se vante pas, il ne s'enfle pas d'orgueil,5 il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche pas son intérêt, il ne s'irrite pas, il ne soupçonne pas le mal,6 il ne se réjouit pas de l'injustice, mais il se réjouit de la vérité;7 il pardonne tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout.8 L'amour ne meurt jamais. Les prophéties disparaîtront, les langues cesseront, la connaissance disparaîtra.9 En effet, nous connaissons partiellement et nous prophétisons partiellement,10 mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel disparaîtra.11 Lorsque j'étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant; lorsque je suis devenu un homme, j'ai mis fin à ce qui était de l'enfant.12 Aujourd'hui nous voyons au moyen d'un miroir, de manière peu claire, mais alors nous verrons face à face; aujourd'hui je connais partiellement, mais alors je connaîtrai complètement, tout comme j'ai été connu.13 Maintenant donc ces trois choses restent: la foi, l'espérance, l'amour; mais la plus grande des trois, c'est l'amour.

1 Corinthiens 13

Nueva Versión Internacional (Castellano)

de Biblica
1 Si hablo en lenguas humanas y angelicales, pero no tengo amor, no soy más que un metal que resuena o un platillo que hace ruido.2 Si tengo el don de profecía y entiendo todos los misterios y poseo todo conocimiento, y si tengo una fe que logra trasladar montañas, pero me falta el amor, no soy nada.3 Si reparto entre los pobres todo lo que poseo, y si entrego mi cuerpo para que lo consuman las llamas,[1] pero no tengo amor, nada gano con eso.4 El amor es paciente, es bondadoso. El amor no es envidioso ni jactancioso ni orgulloso.5 No se comporta con rudeza, no es egoísta, no se enoja fácilmente, no guarda rencor.6 El amor no se deleita en la maldad, sino que se regocija con la verdad.7 Todo lo disculpa, todo lo cree, todo lo espera, todo lo soporta.8 El amor jamás se extingue, mientras que el don de profecía cesará, el de lenguas será silenciado y el de conocimiento desaparecerá.9 Porque conocemos y profetizamos de manera imperfecta;10 pero cuando llegue lo perfecto, lo imperfecto desaparecerá.11 Cuando yo era niño, hablaba como niño, pensaba como niño, razonaba como niño; cuando llegué a ser adulto, dejé atrás las cosas de niño.12 Ahora vemos de manera indirecta y velada, como en un espejo; pero entonces veremos cara a cara. Ahora conozco de manera imperfecta, pero entonces conoceré tal y como soy conocido.13 Ahora, pues, permanecen estas tres virtudes: la fe, la esperanza y el amor. Pero la más excelente de ellas es el amor.