2.Korinther 2

Neue evangelistische Übersetzung

von Karl-Heinz Vanheiden
1 Ich entschloss mich also, nicht noch einmal zu euch zu kommen, wenn dadurch nur Traurigkeit entsteht.2 Denn wenn ich euch Kummer bereite, wer soll mich dann wieder froh machen? Etwa der, der durch mich betrübt wurde?3 Genau das habe ich euch ja geschrieben. Ich wollte nicht kommen und erleben, dass die, die mir eigentlich Freude bereiten sollten, mich traurig machen. Denn ich bin sicher, dass ihr euch freut, wenn ich mich freuen kann.4 Ich schrieb euch damals aus großer Bedrängnis und innerer Beklemmung mit vielen Tränen. Aber ich wollte euch nicht traurig machen. Ihr solltet vielmehr sehen, wie sehr ich gerade euch liebe.5 Wenn jemand Kummer gemacht hat, dann hat er nicht mich betrübt, sondern mehr oder weniger – damit ich nicht zu viel sage – euch alle.6 Für den Betreffenden genügt nun die Bestrafung durch die Mehrheit von euch.7 Jetzt solltet ihr eher verzeihen und trösten, damit er nicht in Verzweiflung getrieben wird.8 Deshalb bitte ich euch: Beschließt, ihn wieder in Liebe anzunehmen.9 Denn ich habe euch ja auch deshalb geschrieben, weil ich prüfen wollte, ob ihr meinen Weisungen in allem Folge leistet.10 Aber wem ihr verzeiht, dem verzeihe auch ich. Und ich habe das um euretwillen vor Christus getan – wenn ich hier überhaupt etwas zu verzeihen hatte –,11 damit wir nicht vom Satan überlistet werden. Wir wissen ja, was seine Absichten sind.12 Als ich mit der Freudenbotschaft von Christus nach Troas[1] gekommen war und der Herr mir dort die Tür zu den Menschen weit auftat,13 hatte ich innerlich doch keine Ruhe, weil mein Bruder Titus[2] nicht kam. Deshalb nahm ich Abschied von ihnen und reiste nach Mazedonien[3] weiter.[4]14 Gott sei Dank, der uns allezeit im Triumphzug[5] des Christus mitführt und so durch uns an allen Orten den Duft seiner Erkenntnis verbreitet.15 Denn durch Christus sind wir ein Wohlgeruch für Gott. Dieser Duft erreicht sowohl die, die gerettet werden, als auch die, die ins Verderben gehen.16 Für die einen sind wir ein Todesgeruch, der den Tod bringt, für die anderen ein Lebensduft, der Leben verheißt. Und wer ist dieser Aufgabe gewachsen?17 Nun, wir machen jedenfalls keine Geschäfte mit der Botschaft von Gott wie viele andere. Wir reden völlig aufrichtig, und zwar so, als ob sie von Gott selber kommt. Dabei stehen wir vor Gott und sind mit Christus eins.

2.Korinther 2

La Bible du Semeur

von Biblica
1 C’est pourquoi j’ai décidé de ne pas retourner chez vous pour ne pas vous attrister[1]. (2Kor 13,1)2 Car si je vous plonge dans la tristesse, qui pourra encore réjouir mon cœur si ce n’est ceux que j’aurais moi-même attristés[2]?3 Si je vous ai écrit comme je l’ai fait dans ma précédente lettre[3], c’était précisément pour qu’en venant chez vous je ne sois pas attristé par ceux-là mêmes qui devaient faire ma joie. J’ai, en effet, la conviction en ce qui vous concerne que ce qui fait ma joie fait aussi la vôtre à vous tous.4 Aussi est-ce dans une profonde détresse, le cœur serré et avec bien des larmes que je vous ai écrit cette lettre, non pour vous attrister, mais pour que vous sachiez combien je vous aime.5 Si l’un de vous a été une cause de tristesse, ce n’est pas moi qu’il a attristé, mais vous tous, ou du moins une partie d’entre vous, pour ne rien exagérer.6 Le blâme que lui a infligé la majorité d’entre vous est suffisant pour cet homme.7 Aussi devriez-vous à présent lui accorder votre pardon et le réconforter, afin qu’il ne soit pas accablé par une tristesse excessive.8 Je vous engage donc à lui témoigner de l’amour.9 Car je vous ai aussi écrit pour vous mettre à l’épreuve et voir si vous obéissez en toutes choses.10 Celui à qui vous accordez le pardon, je lui pardonne moi aussi. Et si j’ai pardonné – pour autant que j’aie eu quelque chose à pardonner – je l’ai fait à cause de vous, devant Christ,11 pour ne pas laisser Satan prendre l’avantage sur nous: nous ne connaissons en effet que trop bien ses intentions.12 Je suis allé à Troas pour y annoncer l’Evangile de Christ. J’y ai trouvé, grâce au Seigneur, des portes largement ouvertes à mon activité.13 Cependant, je n’ai pas eu l’esprit tranquille parce que je n’y avais pas retrouvé mon frère Tite. C’est pourquoi j’ai pris congé des croyants et je suis parti pour la Macédoine.14 Je ne puis que remercier Dieu: il nous traîne toujours dans son cortège triomphal, par notre union avec Christ[4], et il se sert de nous pour répandre en tout lieu, comme un parfum, la connaissance de Christ. (2Kor 4,7; 2Kor 6,3)15 Oui, nous sommes, pour Dieu, comme le parfum de Christ parmi ceux qui sont sur la voie du salut et parmi ceux qui sont sur la voie de la perdition.16 Pour les uns, c’est une odeur de mort qui les mène à la mort, pour les autres, c’est une odeur de vie qui les conduit à la vie. Et qui donc est à la hauteur d’une telle tâche?17 En tout cas nous, nous ne sommes pas comme tant d’autres qui accommodent la Parole de Dieu pour en tirer profit. C’est avec des intentions pures, de la part de Dieu, dans l’union avec Christ que nous annonçons la Parole.