2.Mose 21 | Lutherbibel 2017
1Dies sind die Rechtsordnungen, die du ihnen vorlegen sollst:
Rechte hebräischer Sklaven
2Wenn du einen hebräischen Sklaven kaufst, so soll er dir sechs Jahre dienen; im siebenten Jahr aber soll er freigelassen werden ohne Lösegeld.3Ist er ohne Frau gekommen, so soll er auch ohne Frau gehen; ist er aber mit seiner Frau gekommen, so soll sie mit ihm gehen.4Hat ihm aber sein Herr eine Frau gegeben und hat sie ihm Söhne oder Töchter geboren, so sollen Frau und Kinder seinem Herrn gehören, er aber soll ohne Frau gehen.5Spricht aber der Sklave: Ich habe meinen Herrn lieb und meine Frau und Kind, ich will nicht frei werden,6so bringe ihn sein Herr vor Gott und stelle ihn an die Tür oder den Pfosten und durchbohre mit einem Pfriemen sein Ohr, und er sei sein Sklave für immer.7Verkauft jemand seine Tochter als Sklavin, so darf sie nicht freigelassen werden wie die Sklaven.8Gefällt sie aber ihrem Herrn nicht, nachdem er sie für sich bestimmt hat, so soll er sie auslösen lassen. Er hat aber nicht Macht, sie unter ein fremdes Volk zu verkaufen, nachdem er sie verschmäht hat.9Hat er sie aber für seinen Sohn bestimmt, so soll er nach dem Recht der Töchter an ihr tun.10Nimmt er sich aber noch eine andere, so soll er der ersten an Nahrung, Kleidung und ehelichem Recht nichts abbrechen.11Erfüllt er an ihr diese drei Pflichten nicht, so soll sie umsonst freigelassen werden, ohne Lösegeld.
Vergehen gegen Leib und Leben
12Wer einen Menschen schlägt, dass er stirbt, der soll des Todes sterben.13Hat er ihm aber nicht nachgestellt, sondern hat Gott es seiner Hand widerfahren lassen, so will ich dir einen Ort bestimmen, wohin er fliehen kann.14Wenn aber jemand an seinem Nächsten frevelt und ihn mit Hinterlist umbringt, so sollst du ihn von meinem Altar wegreißen, dass man ihn töte.15Wer Vater oder Mutter schlägt, der soll des Todes sterben.16Wer einen Menschen raubt, sei es, dass er ihn verkauft, sei es, dass man ihn bei ihm findet, der soll des Todes sterben.17Wer Vater oder Mutter flucht, der soll des Todes sterben.18Wenn Männer miteinander streiten und einer schlägt den andern mit einem Stein oder mit der Faust, dass er nicht stirbt, sondern zu Bett liegen muss19und wieder aufkommt und ausgehen kann an seinem Stock, so soll der, der ihn schlug, nicht bestraft werden; er soll ihm aber bezahlen, was er versäumt hat, und das Arztgeld geben.20Wenn jemand seinen Sklaven oder seine Sklavin schlägt mit einem Stock, dass sie unter seinen Händen sterben, muss er bestraft werden.21Bleiben sie aber einen oder zwei Tage am Leben, so soll er nicht bestraft werden; denn es ist sein Geld.22Wenn Männer miteinander streiten und stoßen dabei eine schwangere Frau, sodass ihr die Frucht abgeht, ihr aber sonst kein Schaden widerfährt, so soll man ihn um Geld strafen, wie viel ihr Ehemann ihm auferlegt, und er soll’s geben durch die Hand der Richter.23Entsteht ein dauernder Schaden, so sollst du geben Leben um Leben,24Auge um Auge, Zahn um Zahn, Hand um Hand, Fuß um Fuß,25Brandmal um Brandmal, Wunde um Wunde, Beule um Beule.26Wenn jemand seinen Sklaven oder seine Sklavin ins Auge schlägt und zerstört es, der soll sie freilassen um des Auges willen.27Desgleichen wenn er seinem Sklaven oder seiner Sklavin einen Zahn ausschlägt, soll er sie freilassen um des Zahnes willen.
Schaden durch Tiere – Verlust von Tieren
28Wenn ein Rind einen Mann oder eine Frau stößt, dass sie sterben, so soll man das Rind steinigen und sein Fleisch nicht essen; aber der Besitzer des Rindes soll nicht bestraft werden.29Ist aber das Rind zuvor stößig gewesen und seinem Besitzer war’s bekannt und er hat das Rind nicht verwahrt und es tötet nun einen Mann oder eine Frau, so soll man das Rind steinigen, und sein Besitzer soll sterben.30Will man ihm aber ein Lösegeld auferlegen, so soll er geben, was man ihm auferlegt, um sein Leben auszulösen.31Ebenso soll man mit ihm verfahren, wenn das Rind einen Sohn oder eine Tochter stößt.32Stößt es aber einen Sklaven oder eine Sklavin, so soll der Besitzer ihrem Herrn dreißig Schekel Silber geben, und das Rind soll man steinigen.33Wenn jemand eine Zisterne aufdeckt oder gräbt eine Zisterne und deckt sie nicht zu und es fällt ein Rind oder Esel hinein,34so soll der Besitzer der Zisterne mit Geld dem andern Ersatz leisten, das tote Tier aber soll ihm gehören.35Wenn jemandes Rind eines andern Rind stößt, dass es stirbt, so sollen sie das lebendige Rind verkaufen und das Geld teilen und das tote Tier auch teilen.36Ist’s aber bekannt gewesen, dass das Rind zuvor stößig gewesen ist, und sein Besitzer hat es nicht verwahrt, so soll er ein Rind für das andere erstatten und das tote Tier haben.37Wenn jemand ein Rind oder ein Schaf stiehlt und schlachtet’s oder verkauft’s, so soll er fünf Rinder für ein Rind wiedergeben und vier Schafe für ein Schaf.
La Bible du Semeur
Les lois sur les esclaves hébreux
1L’Eternel dit à Moïse: Voici les lois que tu exposeras au peuple:2Lorsque vous achèterez un esclave hébreu, son service durera six ans; la septième année, il partira libre, sans avoir rien à payer.3S’il était célibataire en entrant à votre service, il partira seul. S’il était marié, sa femme partira avec lui.4Si son maître lui a procuré une femme et qu’elle lui a donné des fils ou des filles*, la femme et ses enfants resteront la propriété de son maître, lui seul partira libre.5Mais si le serviteur déclare: « J’aime mon maître, ma femme et mes enfants, je renonce à partir libre »,6alors le maître prendra Dieu à témoin* et fera approcher l’homme du battant de la porte ou de son montant et lui percera l’oreille avec un poinçon* et cet homme sera son esclave pour toujours*.7Si un homme a vendu sa fille comme servante, elle ne sera pas libérée dans les mêmes conditions que les esclaves.8Si elle déplaît à son maître qui se la réservait*, il la fera racheter, mais il ne pourra pas la vendre à des étrangers. Ce serait la trahir.9S’il l’a destinée à son fils, il la traitera selon le droit qui s’applique à des filles.10Si, après l’avoir épousée, il prend une autre femme, il ne retranchera rien à la nourriture et à l’habillement de la première, ni à son devoir conjugal envers elle.11S’il lui refuse l’une de ces trois choses, elle pourra partir libre, sans paiement*.
La loi sur les atteintes aux personnes
12Celui qui frappera un homme et causera sa mort, sera puni de mort*.13Cependant, s’il n’avait pas l’intention de donner la mort*, mais que Dieu a fait tomber l’homme entre ses mains, je te désignerai un endroit où il pourra se réfugier*.14Par contre, si quelqu’un agit avec préméditation, et qu’il assassine son prochain par ruse, vous irez jusqu’à l’arracher à mon autel* pour le faire mourir.15Celui qui frappe son père ou sa mère sera puni de mort.16Celui qui commet un rapt sera également mis à mort – qu’il ait vendu sa victime comme esclave ou qu’on la trouve encore entre ses mains*.17Celui qui maudit son père ou sa mère sera puni de mort*.18Si, au cours d’une dispute, un homme en frappe un autre du poing ou à coups de pierres sans causer sa mort, mais en l’obligeant à s’aliter,19si la victime se relève et peut de nouveau se promener dehors – fût-ce en s’appuyant sur une canne – celui qui l’aura frappé sera acquitté. Toutefois, il dédommagera l’autre pour son temps d’arrêt de travail et il se chargera de le faire soigner.20Si quelqu’un fait mourir son esclave ou sa servante en le frappant à coups de bâton, il devra être puni.21Toutefois, si le blessé survit un jour ou deux, son maître ne sera pas puni, car il l’a acquis avec son propre argent.22Si des hommes, en se battant, heurtent une femme enceinte et causent un accouchement prématuré, mais sans qu’il y ait d’autre conséquence grave, l’auteur de l’accident devra payer une indemnité dont le montant sera fixé par le mari de la femme et approuvé par arbitrage.23Mais s’il s’ensuit un dommage*, tu feras payer vie pour vie,24œil pour œil, dent pour dent, main pour main, pied pour pied*,25brûlure pour brûlure, blessure pour blessure, contusion pour contusion*.26Si un homme blesse son esclave ou sa servante à l’œil au point de lui en faire perdre l’usage, il lui rendra la liberté en compensation de l’œil perdu.27S’il lui fait tomber une dent, il lui rendra également la liberté en compensation de sa dent.28Si un taureau frappe un homme ou une femme et les tue, il sera lapidé. On n’en mangera pas la viande, mais son propriétaire ne sera pas puni.29Toutefois si, depuis quelque temps, ce taureau avait l’habitude d’attaquer les gens et que son propriétaire en a été formellement averti mais ne l’a pas surveillé, et si ce taureau tue quelqu’un, il sera lapidé et son propriétaire sera lui aussi mis à mort.30Si on impose au propriétaire une rançon pour sa vie, il devra donner tout ce qu’on lui réclamera.31Si le taureau frappe un garçon ou une fille, on lui appliquera la même loi.32S’il heurte un esclave ou une servante, le propriétaire de l’animal versera au maître de la victime trente pièces d’argent, et le taureau sera lapidé*.
La loi sur les atteintes aux biens
33Si quelqu’un, après avoir enlevé le couvercle d’une citerne ou après avoir creusé une citerne, la laisse ouverte et qu’un taureau ou un âne tombe dedans,34le propriétaire de la citerne paiera au propriétaire de la bête l’argent qu’elle valait, et la bête morte lui appartiendra.35Si le taureau de quelqu’un blesse mortellement celui d’un autre, le taureau vivant sera vendu et les deux propriétaires se partageront l’argent et l’animal mort.36Mais si l’on savait que le taureau qui en a tué un autre avait l’habitude de donner des coups de corne et si son maître ne l’a pas surveillé, celui-ci devra remplacer le taureau qui a été tué et l’animal mort lui appartiendra.37Si quelqu’un vole un bovin ou un mouton et qu’il l’abatte ou le vende, il devra donner cinq bovins pour le bovin volé ou quatre moutons pour le mouton volé.
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